Depuis les années 80, le tournant néo-libéral impose à la santé publique et à la psychiatrie sa logique et sa cohérence : centralisation autoritaire, réduction des coûts et surtout des hospitalisations, évaluation et orientation pour faire le tri, « rationalisation » bureaucratique, (ré)éducation plutôt que psychothérapie. Au détriment des fondements de la relation humaine : l’écoute, le temps, la créativité, le sens du travail humain.
La suite à lire sur le site de la CGT santé ou, pp. 6 à 10, dans perspectives n°189 décembre 2021